« Khetmaa jotnu » : labourer dans les rizières, ici, à l’automne, préparation d’un semis de blé, avant le retour du riz. |
« kodoko khetii » : culture d’éleusine en pépinière, avant de la transplanter entre le maïs, entre juillet et août. |
Modestes grains d’éleusine qui occupe une part importante des « bari », terrasses non irriguées, dépendant des précipitations de mousson dans les contreforts. |
Makai, le maïs; avant maturité, pendant la mousson, il est grillé et servi à la pause de l’après-midi, le repas principal du matin (9h30) étant loin. A maturité, il est réduit en farine, maida, pour la préparation d’une bouillie importante : le « dhiro » ou « dhedho », ceci accompagné souvent d’une bonne soupe d’ortie. |
Conviez quelques amis à boire le thé et à passer un moment convivial…sans oublier d’égrener le maïs pendant que coule lentement le temps. |
Les gorges sauvages de la Tama Koshi sacrifiées pour le développement du pays (bikas) : gros travaux d’accès et d’implantation d’un barrage hydroélectrique sur l’ancienne loupe glaciaire de Lamabagar. |
« banmaa, chituwa jastai ki caraa jastai » : dans la jungle, comme la panthère ou comme l’oiseau, les frontières s’estompent sur le chemin chamanique ; jhaakri : le chamane. |
« bhittaamaa, rato mato raamro chaa…barimaa, muskil chaa. » la terre est belle sur le mur...dure dans le champ. |
La jungle et le sauvage sur une rive, le riz et les hommes sur l’autre. |
Colza et crucifères poussent facilement sur les sols pauvres de montagne ; elles libèrent de la potasse. Tori et rayo sont mangées comme saag, feuilles cuites en accompagnement du plat principal. Le sommet au fond : Ama Bamare, sur la frontière tibétaine. |
Maison Thakuri construite par son propriétaire ; son métier : sikarmii, charpentier !! Son voisin ? sikaarii, c’est assez proche à écrire, mais c’est un chasseur ! |
Nimantran, l’invitation… .swaagatam, bienvenu. |